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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 01:44
BANCSPUBLICS.jpg
Réalisé par Bruno Podalydès
Film français.
Genre : Comédie
Durée : 1h 50min.
Année de production : 2008
Distribué par UGC Distribution

 

SYNOPSIS:

Lucie arrive à son bureau et découvre, accrochée sous une fenêtre de l'immeuble d'en face, une banderole noire avec écrit : "HOMME SEUL".
Est-ce un gag, un cri du coeur, un appel au secours ?
Lucie et ses deux collègues s'interrogent et décident de mener leur enquête...
A midi, elles pique-niquent à côté, au "SQUARE DES FRANCINE".
Là, les amoureux graves, les solitaires enjoués, joueurs de tous âges, tournent autour du joyeux jet d'eau.

La ronde continue en face, au magasin "BRICO-DREAM" où, sous les conseils plus ou moins compétents d'une équipe de vendeurs en sur-effectif, les clients calculent, échafaudent, tendus, angoissés, ayant peur de repartir avec des étagères trop courtes, des vis trop longues...
A la fin du jour, aurons-nous croisé l"'homme seul" parmi la multitude de ces personnages affairés ?


Mon avis:

Le réalisateur n'a pas hésité cette fois à inviter tout le botin parisien du spectacle français pour cette comédie chorale plutôt réussie et drôle.



Bruno Podalydès réalise cette comédie poétique du quotidien avec un humour tantôt subtil tantôt avec des ficelles énormes

Il révéle  nos travers et nous renvoie une image forte de nos maladresses, de nos bétises, de nos fonctionnements parfois jusqu'à la limite de la démence .


Si souvent les gags tranchent dans nos vie comme un couperêt, il en ressort une grande indulgence finalement.

 


L'infantilité qui sommeille en chacun de nous semble se réveiller dans des comportements totalement frapadingues, inexplicables, en parfaite contradiction avec notre apparence sérieuse.



C'est le " brico drame" au quotidien cette histoire qui, mine de rien, nous emmène très loin de nos jugements et préoccupations souvent tellement "bas de plafond".


D'ailleurs l'auteur nous prévient de son "bricolage" avec des petits bouts de vie dans les dix premières minutes du film car l'enseigne lumineuse du magasin de bricolage où travaille Aimé (Denis Podalydès)  a  l'( E) de "DREAM" qui s'éteint régulièrement ce qui transforme le mot en "DRAM"... Brico Dram

Utilisant le comique de l'absurde à foison le contenu glisse en nous entre deux éclats de rire.

 

L'auteur du  scénario  utilise un mode de narration mixte: éclaté/classique qui convient parfaitement au thème.

Un tas de sujets sont abordés comme la tristesse de nos petites vies au boulot/bureau, dans nos loisirs, nos petitesses en amour dans nos relations, avec les enfants, nos comportements en amitiés etc etc



Tout cela est dit avec beaucoup d'humour, de drôlerie, de poésie et de tendresse

(à ne pas rater: les poissons rouges bourrés  qui se baladent sur le dos dans leur bocal...etc etc)

On peut voir

 

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4 juillet 2009 6 04 /07 /juillet /2009 09:44
Le Hérisson.jpg

 

Réalisé par Mona Achache
Film français.
Durée : 1h 40min.
Année de production : 2009

 

 

Synopsis:

L'histoire d'une rencontre inattendue : celle de Paloma Josse, petite fille de 12 ans, redoutablement intelligente et suicidaire, de Renée Michel, concierge parisienne discrète et solitaire, et de l'énigmatique Monsieur Kakuro Ozu.

 

Mon avis:


Tiré du best seller de Muriel Barbery "l'élégance du hérisson", le film de Mona Achache est une sorte de conte de fée.

Il raconte, au delà des clivages sociaux, la rencontre de trois univers qui ont en commun le japon, une grande sensibilité culturelle, émotionnelle et cultivent une même curiosité intellectuelle.

On peut toujours rêver, le cinéma est un peu là pour cela.

 


Il y a la concierge, Renée, un riche japonais, Kakuro, venu habiter ce luxueux immeuble des beaux quartiers parisiens et puis une jeune préado de douze ans, Paloma, véritable surdouée et observatrice redoutable du microcosme local.

 

C'est au travers de la narration de cette dernière, de son oeil exercé perçant la vérité de chacun derrière sa caméra que nous découvrirons ce petit monde.



L'observation de Paloma est digne d'un chercheur s'affairant autour de son microscope découpant, observant la vie de tous les personnages avec une acuité et une pertinence féroces.

Sa théorie est que chacun est un poisson dont la vie est limitée, proportionnelle à la taille du bocal qui constitue son univers et dans lequel il est enfermé jusqu'à son dernier souffle de vie.

Ainsi, ne voulant pas subir la vie du poisson rouge dans le bocal ; Paloma a décidé de mettre fin à ses jours pour son anniversaire (qui a lieu dans un an)

 

 

La vie secrète de ces trois personnages  va les ammener à se rencontrer.

Ils ont l'essentiel en commun: ils cachent tous trois une extrème sensibilité, la soif de lire, de comprendre le monde  au delà des apparences.

On a envie de les accompagner tout au long du film et on y prend plaisir.

Et puis avec un peu  de recul on se dit qu'il y manque un petit quelque chose que seule l'écriture peut nous apporter.

 

Je n'ai pas lu le roman de Muriel Barbery mais le film de Mona  Hachache a au moins le mérite de nous donner envie de le lire.

Sur le plan technique on sent que le film a été construit sur "les grosses ficelles" du roman mais peu importe.



On peut comme moi s'y laisser prendre même si Josianne Balasko n'est pas votre actrice préférée (même déguisée en Hérisson).

Sa prestation est plutôt bien réussie mais la jeune Garance Leguillermic en Paloma est beaucoup plus étonnante de justesse et de talent.

 

L'atmosphère dans l'ensemble est plaisante et le rythme lent est assez bien supporté, agréable même.

Si, bien sûr, l'on croit aux contes de fée et/ou  que l'on a envie d'y croire durant une heure quarante.

 

La réalité est hélas, le plus souvent autrement sordide et impitoyable.

Les clivages sociaux  la plupart du temps rendent les échanges difficiles voire impossibles entre les différentes classes de notre société.



On voit rarement ces rapprochements intellectuels  comme ici entre un riche propriétaire, une concierge pauvre, moche, mal embouchée et  une jeune fille  de bonne famille plus souvent occupée à son petit monde pas toujours fait de subtilité qu'à s'intéresser à la vie des autres en profondeur comme le fait la jeune Paloma .

 

Mais qu'importe, berçons nous un peu d'illusion, juste le temps d'un film.

Cela ne peut pas faire de mal et si ça peut donner envie d'espérer en un monde meilleur....à une culture sensible pertinente, à une soif de l'authentique: j'ai envie d'être preneur.

On peut voir.



 

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2 juillet 2009 4 02 /07 /juillet /2009 18:10
Jeux de Pouvoir.jpg



Réalisé par Kevin Macdonald
Film américain.
Genre : Thriller, Drame
Durée : 2h 7min.
Année de production : 2009
Titre original : State of Play
Distribué par StudioCanal

 

Synopsis:

Stephen Collins est membre du Congrès américain et préside le comité qui supervise les dépenses de la Défense.
Ambitieux, il incarne l'avenir de son parti et pourrait bien devenir un des leaders du pays.
Lorsque sa jeune assistante est tuée dans des circonstances mystérieuses, certains secrets font surface...

Cal McAffrey, journaliste chevronné et ami de longue date de Collins, est chargé par sa rédactrice en chef, d'enquêter sur l'affaire. Avec une jeune journaliste, Della Frye, McAffrey tente de découvrir l'identité du meurtrier.
Il ignore qu'il s'attaque à un complot qui menace les structures mêmes du pouvoir.
Lorsque des milliards sont en jeu, tout le monde devient suspect...

 

Mon avis:


L'intrigue semble bien construite au départ.

On s'intéresse à ce thriller politico financier puis on a la vague impression que ça s'emmèle un peu les pinceaux.

 

La confirmation nous arrive sur la fin où le dénouement ne m'a pas du tout paru crédible.

L'ensemble a un air de déjà vu (et en mieux)

 

Au final un film un peu poussif, essoufflé comme l'acteur principal Russel Crowe qui finissent par nous lasser


Les situations convenues et téléphonées, alourdissent une mise en scène qui ne réussit pas à convaincre ni à véritablement passionner le spectateur.


Pourtant salué par une partie de la critique ciné ; en ce qui me concerne, j'ai trouvé ce "Jeu de pouvoir" relativement  laborieux, même décevant.


On peut éviter


 

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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 20:27
Whatever Works.jpg

 

Réalisé par Woody Allen
Film américain.
Genre : Comédie, Romance
Durée : 1h 32min.
Année de production : 2009
Distribué par Mars Distribution

 

 

Synopsis:

Boris Yellnikoff est un génie de la physique qui a raté son mariage, son prix Nobel et même son suicide.
Désormais, ce brillant misanthrope vit seul, jusqu'au soir où une jeune fugueuse, Melody, se retrouve affamée et transie de froid devant sa porte.
Boris lui accorde l'asile pour quelques nuits.
Rapidement, Melody s'installe.
Les commentaires cyniques de Boris n'entament pas sa joie de vivre et peu à peu, cet étrange couple apprend à cohabiter.
Malgré son esprit supérieur, Boris finit par apprécier la compagnie de cette simple jeune femme et contre toute attente, ils vont même jusqu'à se marier, trouvant chacun leur équilibre dans la différence de l'autre.

Un an plus tard, leur bonheur est troublé par l'arrivée soudaine de la mère de Melody, Marietta. Celle-ci a fui son mari, qui l'a trompée avec sa meilleure amie.
Découvrant que sa fille est non seulement mariée, mais que son époux est un vieil excentrique bien plus âgé qu'elle, Marietta s'évanouit.
Pour détendre l'atmosphère, Boris emmène Melody et sa mère au restaurant avec un ami, Leo Brockman...

 

Mon avis:

On avait cru comprendre ces dernières semaines que le célèbre réalisateur déconnait un peu.

Il voudrait faire jouer Carla Bruni dans un de ses prochains films!!!



A voir ce film qui sent le rance on comprend mieux: il radote.


Si son précédent film (Vicky, Cristina, Barcelona) se laissait voir ; "whatever Works" tiré d'un scénario qu'il avait écrit dans les années soixante dix  puis abandonné (suite au décès de l'acteur principal) fait sans aucun doute parti de ce qu'il a fait de moins intéressant dans sa filmographie

 


Un film "verbeux", bavard, dépassé qui finit rapidement par ennuyer le spectateur.

Mégalo et misanthrope: on savait et il le confirme ici.

 

Décevant et ennuyeux mis à part un ou deux moments où l'on s'amuse un peu sur cet air de "déjà vu".


A trop en faire  Woody Allen finit par nous fatiguer avec un cinéma qui sent la sénilité avancée.

On peut éviter


 

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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 10:05
Very Bad Trip.jpg



Réalisé par Todd Phillips
Film américain.
Genre : Comédie
Durée : 1h 30min.
Année de production : 2009
Titre original : The Hangover
Distribué par Warner Bros. France

 

Synopsis:

Au réveil d'un enterrement de vie de garçon bien arrosé, les trois amis du fiancé se rendent compte qu'il a disparu 40 heures avant la cérémonie de mariage.


Ils vont alors devoir faire fi de leur gueule de bois et rassembler leurs bribes de souvenirs pour comprendre ce qui s'est passé.

 

Mon avis:


Pas une superproduction mais une comédie bien sympa, drôle avec un rythme régulier et une construction dramaturgique bien étudiée.

C'est amusant mais sans gags chronométrés où l'on empilerait cliché sur cliché comme on a l'habitude de voir dans ce genre de film.


Respectant un suspens qui donne le piment nécessaire pour susciter notre intérêt, Todd Phillips nous entraine dans une discrète étude sociologique des comportements libérés des contraintes du quotidien et des barrières sociales.

Dans un état d'ivresse totale ils vont laisser libre court à des actes que seul le rêve et l'imagination n'autoriseraient en temps normal

 

Pas de vedette du box office (mis à part Mike Tyson) mais des interprètes de talent à la hauteur des rôles qui leur sont confiés.

 

"Very bad trip" ressemble plus à une comédie Canadienne qu'à une comédie américaine traditionnelle classique.

Il rappelle un peu les films de Denys Arcand (les invasions barbares, le déclin de l'empire américain)


J'y ai pris beaucoup de plaisir particulièrement en ce moment où l'ambiance générale est plutôt lourde dans bien des domaines.

 

Un film léger et bien agréable pour détendre en ce début d'été.

On peut voir.

 

 

 

 

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18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 18:07
Tellement proches.jpg




Film français.
Genre : Comédie
Durée : 1h 42min.
Année de production : 2008
Distribué par Mars Distribution
Synopsis:
Quand Alain a épousé Nathalie, il ne savait pas qu'il épouserait aussi sa famille. Ce samedi, comme toutes les semaines, ils sont invités à dîner chez son beau-frère, Jean-Pierre à Créteil.
Mais ce soir, plus que d'habitude, Alain est à bloc, il bout comme une cocotte prête à exploser.
Il en a marre, marre de se planter à chaque fois sur le chemin pour aller à Créteil, marre de se taper les petits conseils de vie de Jean-Pierre et de sa femme Catherine qui élève ses enfants comme des chevaux, marre d'attendre de dîner l'estomac vide en regardant les spectacles soporifiques de leur fille Gaëlle, marre de regarder pour la énième fois la vidéo de leur mariage, marre aussi de son autre belle-soeur Roxane, qui, affolée par son horloge biologique, a jeté son dévolu sur Bruno, jeune interne en médecine qui se demande un peu comment il a atterri à ce dîner.
C'est vrai, Alain en a marre de ces dîners familiaux, mais il ne sait pas encore ce qui l'attend véritablement ce soir-là... Ni les jours qui suivent.....

 

Mon avis:

Dans la rubrique "famille je vous aime ; famille je vous hais": on peut dire qu'on est servi.

Que ce soit au cinéma ou au café théâtre avec nos centaines de franchouillardises annuelles   ou même en littérature le sujet est largement traité .

Souvent jusqu'à saturation.

 

Ici on est tombé sur la famille "totale frapadingue" .

Pas grand chose de nouveau: jusque là on a déjà donné.

Les gags arrivent avec énergie et selon un rythme étudié.

La première heure j'étais à la limite entre intérêt et ennui.

 

Dans la seconde partie des scènes plus sensibles émotionellement captent un peu plus notre attention.

Ce n'est qu'à la dernière minute que l'on comprend que le narrateur est sur les planches et que c'est le plus déjanté (pendant son enfance)qui  nous a parlé pendant une heure quarante.

La conclusion est directe,  à la limite presque lacrimale tellement elle se veut touchante.

Vous allez me dire: "mais au café théâtre on ne voit que ça dans les one man / woman shows".

 

Oui tout à un air de déjà vu mais le talent des comédiens ; les dialogues sincères et bien construits rendent visible cette comédie où les auteurs et interprètes savent déclencher nos rires et nos émotions.

 

Ne vous attendez pas comme le dit le bandeau sur l'affiche à voir la comédie de l'année.

Faut pas exagérer .

C'est brillant certes mais on pouvait largement se passer du message raccoleur: "brillant: la comédie de l'année".


On a vu mieux mais on peut voir à la rigueur...

....sauf si vous êtes trop saturés d'un sujet plus que rebattu.

(Dans ce cas: attendez que ça passe en vidéo ou sur les chaines de télé).


 

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13 juin 2009 6 13 /06 /juin /2009 19:18
Je vais te manquer.jpg

 

Réalisé par Amanda Sthers
Film français.
Genre : Comédie, Romance
Durée : 1h 35min.
Année de production : 2008
Distribué par UGC Distribution
Synopsis:
Six destinées qui vont, l'espace d'un instant, dans un aéroport grouillant de vie, se bousculer, se séparer et se retrouver.
Et si ses personnages étaient en train de vivre, sans le savoir, le moment le plus important de leur vie.
Olivier et Lila... Va-t-il rater l'amour ou va-t-elle rater l'avion ?

Julia et Marcel... Va-t-elle rater sa mort ou va-t-il rater sa vie ?
Fanny et Max... Va-t-elle manquer de courage ou va-t-il manquer de chance ?

 

Mon avis:

 

Après Terminator, la comédie "bobo" du moment: "je vais te manquer".

Les états d'âmes décousus d'Amanda Sthers.

 

Même après 1h 35 on ne comprend pas du tout où la réalisatrice veut en venir.

C'est cliché sur cliché du "vu et revu".

Pour couronner le tout on a le droit au prince charmant ; à la rencontre la plus improbale et "concon" que l'on puisse imaginer.

 

Du grand n'importe quoi.


 

L'auteur  entame plein de sujets qui, à aucun moment, ne seront correctement développés.

Je n'ai pas cru une seconde à cette histoire pas du tout aboutie.

Quand au comique de situation: on rit peu malgré de nombreuses tentatives.

Certains gags tombent même totalement à plat.

 

 

On aurait presque envie de pleurer devant ce spectacle désolant.

Des esquisses rien que des esquisses.

 

 

L'ensemble est lassant malgré des interprètes qui font ce qu'ils peuvent.

Aucun rythme ni construction dramaturgique.
L'énergie ne repose que sur les acteurs

 

On en sort désolé ....à imaginer ce que ce film aurait pu être s'il avait été mieux construit  et si on nous avait présenté autre chose qu'un brouillon.

On peut éviter

 

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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 20:18
Terminator Renaissance.jpg




Ce film fait partie de la Saga Terminator
Réalisé par McG
Film allemand, britannique, américain.
Durée : 1h 48min.
Année de production : 2009
Titre original : Terminator Salvation

 

Synopsis:

En 2018, après l'apocalypse qui a vu s'affronter les hommes et les robots, John Connor est devenu le chef de la résistance humaine contre Skynet et son armée de Terminators.


Sa vision du monde est pourtant remise en cause par l'apparition de Marcus Wright, un inconnu qui se souvient seulement de s'être trouvé dans le quartier des condamnés à mort.

 

Connor doit découvrir si Marcus a été envoyé du futur ou s'il est un rescapé du passé.

 

Alors que Skynet prépare l'assaut final, Connor et Marcus s'engagent dans une odyssée qui va les mener au coeur même des opérations de Skynet.

Ils y perceront le terrible secret qui se cache derrière l'annihilation programmée de l'humanité tout entière..

 

 

Mon avis:

Un nouveau volet de ce gigantesque nanar.


Moins de moyens, pas de Shwartzy mais son image de synthèse qui va se faire écrabouiller.

 


La saga des résistants aux vilaines machines qui ont décidé de se débarrasser des humains se poursuit avec à sa tête bien sûr John Connord 

 


Du lourd, du très lourd avec ce scénario qui n'en finit pas de se méler les pinceaux.

 


Malgré le bruit et le tas de ferraille animée aux yeux rouges ; on n'entre  pas dans cette histoire qui sent le faisandé.


 

A fuir ...loin.... très loin de ce gros navet

 

 

 

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11 juin 2009 4 11 /06 /juin /2009 11:50
Les Beaux gosses.jpg



Réalisé par Riad Sattouf
Film français.
Genre : Comédie
Durée : 1h 30min.
Année de production : 2008
Distribué par Pathé Distribution
Synopsis:
Hervé, 14 ans, est un ado moyen. Débordé par ses pulsions, ingrat physiquement et moyennement malin, il vit seul avec sa mère.

Au collège, il s'en sort à peu près, entouré par ses bons copains.

Sortir avec une fille, voilà qui mobilise toute sa pensée.
Hélas, dans ce domaine, il accumule râteau sur râteau, sans toutefois se démonter.
Un jour, sans très bien comprendre comment, il se retrouve dans la situation de plaire à Aurore, l'une des plus jolies filles de sa classe.
Malgré des avances de plus en plus évidentes, Hervé, un peu nigaud, ne se rend compte de rien.

Quand enfin il en prend conscience, Aurore refuse de sortir avec lui.
Puis, sans prévenir, elle se jette dans ses bras.

Enfin, il sort avec une fille !

Grand amateur de branlettes et de films X, Camel, son meilleur ami, convainc Hervé d'essayer de coucher avec sa copine.
Devant son copain, Hervé se vante de sa virilité, mais quand il est avec Aurore, c'est une autre affaire...

 

Mon avis:


Une ènième comédie sur l'adolescence.

Pour une fois celle-ci fonctionne à merveille.



Le dessinateur/réalisateur Riad Sattouf nous propose un film à la fois drôle et caustique sur cette période difficile de la vie.

On sent le vécu.



A contrario de "Lol" ce ne sont pas des ados BCBG des beaux quartiers qui nous sont dépeints

 



Hervé et Camel ne sont pas à proprement parler de beaux gosses.

Ils sont plutôt genre boutonneux et maladroits,  presque gnan -gnans.

 

C'est toute l'ingratitude de l'adolescence qui nous apparaît  au travers des portraits de ces deux boutonneux grands amateurs de masturbation avec le catalogue de la redoute



La prestation des acteurs est remarquable, en particulier la mère d'Hervé interprétée par Noémy Lvosky.

Celle-ci aime entrer dans la chambre de son fils à l'improviste et avec un petit sourire lui demander:

"tu te branlais?"

 

La fragilité et la maladresse de l'adolescence sont décrites sans concession mais avec beaucoup d'authenticité.

 

   

On rit beaucoup et les dialogues  font mouche.


Pas de baisse de rythme ni d'énergie.

L'ensemble se laisse voir avec plaisir

On peut voir

 

 

 

 

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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 18:49
Ne te retourne pas.jpg





Réalisé par Marina De Van
Film français.
Genre : Thriller
Durée : 1h 51min.
Année de production : 2007
Distribué par Wild Bunch Distribution
Synopsis:
Jeanne, plongée dans l'écriture d'un premier roman, constate des changements mystérieux autour d'elle et voit son corps se transformer...
Son entourage ne semble pas s'en apercevoir.

Troublée, elle découvre chez sa mère une photographie qui la met sur la trace d'une femme, en Italie.
Jeanne, désormais transformée, y trouvera la clef d'un étrange passé...

 

Mon avis:

D'un ennui à mourir.

Je n'ai pas cru une seconde à cette histoire.

Les actrices font ce qu'elles peuvent mais la sauce ne prend pas.


On ne s'émeut pas pour ce film étrange.

La construction cinématographique est brouillonne, confuse.

Le scénario paraît boiteux, approximatif.



C'est regrettable car le  thème est intéressant mais très mal traité.

La transformation de Sophie Marceau est presque comique.

L'ensemble est lourdingue, laborieux, "intellichiant", pénible.


Dommage, car l'interview de Sophie Marceau hier soir sur FR3 était intéressante, authentique ; loin des clichés médiatiques et des avis  sur son image d'actrice à l'emporte pièce.


Grosse déception: on sort avec le sentiment de s'être fait arnaquer.

A fuir....sans se retourner.



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